Mini Bio (1) Paul Verhoeven graduated from the University of Leiden, with a degree in math and physics. However the poll suggests that a big majority (84%) of respondents don't believe that he’s gay. Le résultat, qualifié par la presse d'« édulcoré[124] », « méprisable[125] » ou encore « nauséabond[126] », essuie un revers notable en salles[127]. Très marqué par la Seconde Guerre mondiale, dont il est un témoin direct dans son pays occupé par les Allemands, il garde le souvenir de scènes terribles[2]. Il se fait même approcher par la 20th Century Fox pour diriger ce qui deviendra L'Empire contre-attaque, mais le projet est avorté quand le studio découvre son film suivant, le sulfureux Spetters (1980)[25]. Le projet est finalement abandonné, et c'est Steven Spielberg qui plus tard s'appuiera dessus pour réaliser Minority Report (2002)[136]. Paul Verhoeven est né le 18 juillet 1938 à Amsterdam, d'un père instituteur et d'une mère au foyer . En 2015, il débute la production d'Elle, une coproduction franco-allemande avec notamment Isabelle Huppert, Virginie Efira et Charles Berling. Verhoeven fait la connaissance de Rutger Hauer sur le tournage de la série néerlandaise Floris, diffusée en 1969. He entered the Royal Netherlands Navy, where he began his film career by making documentaries for the Navy and later for TV. Premier film du cinéaste à ne pas être tiré d'un livre, et notamment d'une biographie comme c'était jusque-là souvent le cas, Spetters se veut le témoin de la réalité présente, plus particulièrement celle des petits villages de son pays[23]. He has very differently shown more of his innovative and designer side in Total Recall where it is completely based on his imagination unlike RoboCop which is more based in the violence, action and acquaintance of power. He mixtures violence, sexuality, with an almost absurdist’s tone at times. Les années 1980 marquent à ses yeux un tournant dans le cinéma hollandais, en ce sens que le comité public chargé de le financer, qui allouait jusque-là entre 40 et 60 % des budgets nécessaires, s'est progressivement radicalisé vers la gauche, imposant aux films de « témoigner d’un intérêt culturel ou intellectuel ». TOTAL RECALL (1990). Isabelle Huppert, qui conserve à Verhoeven une très grande estime, déclarait après la sortie de Elle que s'« il y a toujours quelque chose de dur à avaler avec lui », il n'en sait pas moins « exactement ce qu’il a à faire »[79]. Online. On y suit notamment un savant faisant figure d'avant-gardiste, à une époque où la science s'oppose aux superstitions et aux religions[25],[99]. Verhoeven made his first film Één hagedis teveel ("One Lizard Too Many") for the anniversary of his students' corps in 1960. Intitulé La Dernière scène, il s'agit d'un exercice de style, qui ouvre sur une scène de sexe et joue ensuite sur les mises en abyme[33]. 2016. À nouveau porté par le producteur Saïd Ben Saïd et tourné en français, le projet permettra de retrouver Virginie Efira, déjà présente dans Elle, dans le rôle de Benedetta Carlini, une religieuse catholique italienne du XVIIe siècle, mystique et lesbienne. Il reste chef opérateur pour le cinéaste sur ses trois premiers longs métrages, Business is Business (1971), Turkish Délices (1973) et Katie Tippel (1975), puis le retrouve pour Le Quatrième Homme (1983), La Chair et le Sang (1985) et Basic Instinct (1992). Houwer veut alors produire un film originaire de son pays. Plus particulièrement, il entrevoit dans le personnage central la figure du Christ, envisageant l'histoire comme une parabole parlant « de crucifixion, de résurrection, et du paradis perdu »[23]. Mais ses idées ne sont pas retenues dans la version finale de 1990, finalement confiée à une tout autre équipe[82]. Pourtant, il garde malgré tout une réelle estime pour son jeu dans les rôles pernicieux[6],[38] : « Sharon est parfaite quand elle joue les méchantes. Ensemble ils ont deux filles, l'une peintre et l'autre scénariste pour la télévision[4]. Il s'inscrit en cela dans l'éphémère « Dutch Sex Wave », un mouvement libertaire qui renverse les codes du cinéma néerlandais dans la première moitié des années 1970, tirant le sexe explicite de la pornographie pour l'imposer au circuit de salles classique[18],[84]. L'événement étant reporté à l'année suivante en raison de la pandémie de Covid-19, la sortie du film est encore décalée, cette fois à juillet 2021[77]. En effet, ses trois derniers films creusent chacun à leur manière la thématique du double : le policier mi-homme mi-robot de RoboCop, l'agent double amnésique de Total Recall, et cette fois une autrice de polar suspectée de meurtre[2]. En France, c'est avec la Belge Virginie Efira qu'il semble aimer collaborer. In 1969, he directed the popular Dutch TV series, Floris (1969), about a … Les deux films sont très liés : ils partagent plusieurs membres importants de leurs équipes, et Neumeier ira jusqu'à dire que l'un est en quelque sorte une suite de l'autre. Quasiment tous les films de la période néerlandaise de Paul Verhoeven sont produits par Rob Houwer, un compatriote de son âge, et qui a déjà accompagné la nouvelle vague allemande quand ils se rencontrent. He has been praised for the different themes and versatility that he inculcates across these themes among the audiences. It is based on the theme that a police officer, named Alex Murphy, who was severely injured during his duty was provided some superpowers that can be possessed only by a robot. It was his bravery and urge to return back that his body too accepted the experiment that as performed by the multilateral organization OmniCorp in the industry. Nouvelle manière de questionner la morale, en se jouant des codes et au mépris des tabous[77],[91]. Il est alors de nouveau évoqué son souhait d'adapater Azazel, qui doit prendre la forme d'un thriller historique[N 8], avec Dan Stevens et Milla Jovovich dans les rôles principaux[56]. Il assume pleinement la légèreté et même l'humour de son propre film, et pense nécessaire de toujours conserver une certaine distance à son sujet[82]. Le film est présenté dans différents festivals, comme Rome ou TriBeCa[66], et paraît en France, directement en vidéo, le 2 avril 2014[71]. Le cinéaste est pressenti un an plus tard pour diriger The Surrogates, un thriller tiré d'un roman de Kathy Mackel[N 9] réadapté par les scénaristes Bruce et Roderick Taylor. ». He is very much attracted to her, but he is very much confused regarding his existence. Mais il se souvient également d'une enfance joueuse, qui détournait ce décor sordide pour en faire comme une cour de récréation[1]. Il se tourne ensuite vers la réalisation, signant lui-même des films comme Speed (1994) ou Twister (1996) et sa collaboration avec Verhoeven cesse totalement. Peut-être parce que de Bont se montre de plus en plus réticent à la voir tourner nue, Verhoeven la remplace par Renée Soutendijk dans Spetters (1980) et Le Quatrième Homme (1983)[115],[116]. Son premier succès vient en 1969 avec la série télévisée Floris, qui lui permet de faire la connaissance de Rutger Hauer, avec qui il collaborera durant toute sa période néerlandaise[6]. Prévu pour l'été 2021, Bel-Ami constituera son premier travail pour la télévision depuis son rôle de producteur exécutif sur la série issue de Starship Troopers[78]. Et il estime qu'à ce titre, son succès auprès du public local jouait nettement en sa défaveur[6]. Ce dernier retrouvera Verhoeven dix ans plus tard, sur Starship Troopers. Il est présenté en compétition officielle au festival de Cannes, 24 ans après l'ouverture de l'édition 1992 avec Basic Instinct, et reçoit de nombreuses récompenses, parmi lesquelles le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère et le César du meilleur film. Thus, it can be seen how Paul Verhoeven has specialized in different genres of the film making industry where he has always been striving on the provision of different experiences to the viewers across the industry. Cette propension, qui vaut parfois à Verhoeven le surnom de Hollandais violent dans les médias francophones[2] (jeu de mots faisant référence au Hollandais volant, un vaisseau fantôme célèbre dans la culture populaire[18]), n'est en fait pour lui qu'un reflet de l'univers, qu'il juge « mal fait, mal foutu »[86] : « Les étoiles se détruisent, les planètes explosent – c’est une constante de l’univers, l’univers est très violent[86]. Arrêtée après une saison, elle n'a pas de connexion directe avec l'univers de Paul Verhoeven[139]. I dont think the majority of filmgoers understand the comedic aspect of Exploitation, they take it too seriously. He has displayed sheer courage of a police officer who was killed brutally by many criminals. From 1987-2000 Verhoeven made big blockbusters— right there with Robert Zemeckis, James Cameron and Tim Burton. Plus tard s'ajouteront le policier mi-homme mi-machine de RoboCop, les héros très lisses de Starship Troopers, ou encore les héroïnes équivoques de Basic Instinct, Showgirls et Elle[2],[36]. Verhoeven didn’t just arrive in America a fully formed auteur director; he began making features that way, arriving at his feature directorial debut, Business Is Business, equipped with a favorite set of progressive themes and a flair for instilling even small moments with a swaggering, ramshackle kineticism. Il cite en exemple son projet avorté sur la vie de la pirate Anne Bonny, pour lequel Nicole Kidman avait pourtant donné son accord, mais que personne n'a voulu financer à hauteur des 50 millions de dollars qu'il réclamait[5],[81]. However, the real confusion that holds every person to the field is that during the virtual dreaming and development of memories, the man had reached mars in reality. La fortune cesse brutalement de sourire avec Showgirls (1995), une critique des États-Unis à travers Las Vegas, « ce temple du kitsch et du mauvais goût ». Ils deviennent proches et collaborent pendant toute la première partie de carrière du réalisateur. Le film est mieux accueilli à l'international, et sa critique de l'impérialisme américain finit par être mieux admise aux États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001[17],[36]. Marshall Bell, Michael Ironside et Dean Norris, trois autres acteurs de Total Recall, obtiennent ensuite un rôle dans Starship Troopers (1997). Beaucoup de films de Paul Verhoeven ont fait l'objet de suites, de remakes ou autres adaptations, principalement dans sa période américaine. On lui doit aussi les scénarios du téléfilm, La série est publiée en France par les éditions Wetta, sous le nom, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Dernière modification le 6 mai 2021, à 09:32, Golden Globe du meilleur film en langue étrangère, celui du meilleur film de science-fiction, Compagnie néerlandaise des Indes orientales, Festival international du film de Marrakech. Il rencontre le scénariste Gerard Soeteman et ensemble ils entament une série de films, qui ne cessera là aussi qu'avec le départ du cinéaste pour les États-Unis[13]. De fait, Verhoeven conçoit ses films pour qu'ils se révèlent après plusieurs visionnages, « comme une bonne musique qu'on écoute encore et encore », en l'abordant sous différents angles pour en percevoir toute la richesse[101]. L'idée naît durant la fin du tournage de RoboCop, lors d'une discussion avec le scénariste Edward Neumeier. Désireux de laisser chacun donner son avis, quel que soit son degré de désaccord avec les propos formulés, il interviewe d'anciens SS, qu'on voit ainsi s'exprimer pour la première fois à la télévision, ce qui était interdit jusque-là[10]. De ce fait, il n'hésite pas à critiquer publiquement les réalisations qu'il inspire. Mais ce thème se déploie plus généralement, dans une grande part de sa filmographie, à travers nombre de personnages énigmatiques, souvent tiraillés entre des courants contraires. G. Wells, ou contraint de couper des scènes jugées trop violentes par ses producteurs[N 7],[31]. ». Le cinéaste le reconnaît : « On fait des films pour communiquer, toucher un public, pas pour le malmener. Autant que Stravinsky, Bryan Ferry ou Rammstein[81]. (rires)[6] ». Selon lui, « si on est trop conscient du message, on ne fait plus de l'art »[3]. However, inspite of so many controversies, it went out to become one of the most successful movies in the year 1992. Mais la série sera stoppée après une seule saison faute d'audience[132]. Qualifiant l'original de « parfait », et son réalisateur de « visionnaire », il affirme s'en être délibérément écarté, misant sur un parti pris plus grave et dramatique, là où il est conscient que Verhoeven jouait plutôt sur l'ironie[131]. Cette conviction profonde coûtera d'ailleurs au cinéaste son amitié avec Rutger Hauer, qui vit mal de devoir incarner l'atroce au motif de l'authenticité[3]. Il y adapte un auteur reconnu, le Néerlandais Gerard Reve, et y déploie un symbolisme omniprésent, supposément apprécié des cercles intellectuels. Il se lance dans une grosse production financée par le studio américain Orion Pictures, basée en Espagne et tournée en anglais, La Chair et le Sang (1985). Si Total Recall est le seul film américain de Verhoeven à n'avoir pas occasionné de suite proprement dite, celle-ci a bien été en projet dès les années 1990. Le scénario, à nouveau écrit par Soeteman, forme un prolongement au Choix du destin : cinq amis anciens résistants, qui se sont promis durant la guerre de venger le meurtre d'un de leurs camarades, se retrouvent trente-cinq ans plus tard devant le coupable, un vétéran des SS devenu handicapé[27],[28]. Très présent sur ses tournages, Verhoeven participe à chaque élément de ses films. Il s'agit d'une comédie légère centrée sur deux prostituées aux visions opposées sur la profession, et où chaque client est tourné en dérision. Ce premier long-métrage, qui réunit diverses vedettes locales du théâtre et de la télévision[14], remporte un immense succès aux Pays-Bas. Verhoeven et Soeteman se montrent réticents, le script proposé se révélant tendre à une suite de sketchs sans réelle trame narrative[15], mais ils acceptent quand Houwer leur promet le film qu'ils voudront si celui-ci est une réussite. Your email address will not be published. Ces principes sont pour lui une nécessité. Your email address will not be published. Le projet ira jusqu'à la pré-production, le cinéaste partant effectuer ses premiers repérages en Espagne, tandis que pour le casting, les noms de John Turturro, Jennifer Connelly et même Irène Jacob et Richard Anconina commençaient à circuler. He has a great sense of style and his movies are like big budget Exploitation films. The fighting scenes that were intense were made lighter and there was an addition of a humor element in the action sequences that were planned by the director Verhoeven to be the core feature of the film. D'autres noms circulent comme Rutger Hauer, Tom Berenger, Armand Assante ou Michael Ironside, mais c'est finalement Peter Weller qui obtient le rôle, pour « son menton parfait »[34]. He has achieved great recognition and many awards for these three movies which tend to take his career as a director to an all-time high. Black Book remporte un net succès, notamment dans son pays où il attire 900 000 spectateurs[55]. Le premier succès international arrive en 1977 avec Le Choix du destin (Soldaat van Oranje), sélectionné notamment pour le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère[20]. De plus en plus enclin à quitter les États-Unis, il travaille encore à une biographie de Victoria Woodhull, « féministe avant l'heure, probablement prostituée, qui vivait au XIXe siècle », pour laquelle il espère séduire Nicole Kidman, mais il doit encore renoncer faute de financement.
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