L'Afrique du sud produit environ 550 tonnes de concentrés d'uranium par an, ce qui représente environ 1 % de l'extraction de l'uranium dans le monde. Power Technology | Energy News and Market Analysis, Agence internationale de l’énergie atomique, Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, Compagnie des mines d'uranium de Franceville, Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, Agence internationale de l'énergie atomique, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Énergie_nucléaire_en_Afrique&oldid=182072345, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Le site de Mounana était le principal gisement du pays[14]. Le réacteur est né d’une idée de Luc Gillon, un prêtre belge qui avait une formation de physicien nucléaire. L'Afrique du Sud est un des membres fondateurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Le Niger, l’un des pays les moins électrifiés de la planète, dispose de la quatrième plus grosse réserve mondiale d’uranium[1], alors que la production d’uranium, qui représentait encore 60 % des recettes d’exportation du Niger en 2010[5]. alors qu'en Afrique subsaharienne, 57 % de la population n’a pas accès à l’électricité[1]. Début juin 2018, le programme nucléaire du Nigeria a franchi une nouvelle étape grâce à la signature d’un accord entre le gouvernement nigérien et l'entreprise canadienne StarCore Nuclear. Le Ghana exploite un réacteur nucléaire depuis 1994. Le 12 mars 2018, une délégation soudanaise se rend en Russie pour définir un plan de route pour la transformation de la station flottante du port de Bachayer, sur le Nil, d'une petite capacité de 150 mégawatts, et fonctionnant à l'énergie nucléaire[17]. Le parc nucléaire argentin a généré près de 7,9 TWh en 2019 (3), soit 5,9% de la production électrique du pays cette année-là. La Russie, la France, la Corée du Sud et les États-Unis proposent leurs services. Au Soudan, le projet de développement d'une grande station nucléaire à Khartoum, censé voir le jour d'ici 2025, suite à un accord signé entre le Soudan et la Russie en décembre 2017[17]. En 1948, le pays crée l'Atomic Energy Board (AEB), précurseur de l'actuelle South African Nuclear Energy Corporation (Necsa)[1]. Le 26 mars 2008, lors de la visite du président Nicolas Sarkozy, un accord a été signé entre le Ministre congolais des Mines et la présidente du directoire d'Areva Anne Lauvergeon, lequel porte sur la recherche et l’exploitation de l’uranium sur le sol congolais[11]. Avec une croissance démographique importante cumulée à un taux d'électrification faible et d'importantes perspectives en développement économique, d’infrastructures, d’équipements industriels le continent africain est confronté à une demande croissante d’électricité, ne serait-ce que pour attirer les investisseurs. En 2010, cette mine produisait 2 % de la production mondiale d'uranium mais elle est à l'arrêt depuis 2014[13]. portant sur la fourniture de 23 petits réacteurs nucléaires installés dans plusieurs mini centrales nucléaires, réparties sur l’ensemble du territoire du Nigeria[19]. South African Fundamental Atomic Research Installation 1. Elle ne croit ni en sa sûreté ni en son rapport efficacité/prix[7]. Le pays possédait également un programme militaire secret pour la South African Defence Force, abandonné par la ratification du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires avant l'arrivée au pouvoir du Congrès national africain. De 1993 à 2010, un réacteur nucléaire à lit de boulets (Pebble Bed Modular Reactor - PBMR) était en développement par la société sud-africaine PBMR (Pty) Ltd. Avec l'insuffisance de la production à partir des ressources hydrauliques, éoliennes et géothermiques programmé en 2025, le Kenya qui importe de l'électricité d'Éthiopie, cherche des sources alternatives pour satisfaire sa forte demande intérieure en énergie[20]. Le premier personnel s'installe en 1963 et le réacteur est mis en marche le 18 mars 1965[1]. Earthlife Africa (en) est une organisation faisant campagne contre l'énergie nucléaire en Afrique du Sud. Mais le projet est finalement abandonné en 2018 par Cyril Ramaphosa, successeur de Jacob Zuma à la présidence du pays, et opposant au projet avant son élection[3]. La Compagnie sud-africaine de l'énergie nucléaire (NECSA) a été créée en tant que société publique par la Loi sur l'Énergie Nucléaire en République d'Afrique du Sud de 1999 et est entièrement détenue par l'État. En octobre 2017, la Russie et le Nigéria signent une série d'accords portant sur la construction et l'exploitation d'une centrale nucléaire et d'un centre de recherche polyvalent au Nigéria[18]. Plusieurs projets de développement nucléaire sont actuellement en cours sur le continent africain. https://lenergeek.com/2017/02/03/quel-avenir-pour-le-nucleaire-en-afrique Elle appartient et est exploitée par le fournisseur national, Eskom. Mais beaucoup de pays africains sont encore attirés par l’illusion d’une énergie moderne et propre. Le pays a été l’un des premiers en Afrique à annoncer des plans de production d’énergie nucléaire à la fin des années 1990, mais les projets sont restés au point mort.Cependant, ce pays d’Afrique de l’Ouest pourrait produire de l’énergie nucléaire … En 1961, le site de Pelindaba, à l'ouest de Pretoria, est choisi pour accueillir le premier réacteur nucléaire de recherche du pays. Rappelons que le projet Sparc, c’est tout simplement l’un des plus importants projets à … Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À noter que le Soudan possède la troisième plus grande réserve d'uranium au monde[17]. Je conçois que vous ne visualisez pas bien ce que représentent des Térawatt-heures. Ghana. En 1961, le site de Pelindaba, à l'ouest de Pretoria, est choisi pour accueillir le premier réacteur nucléaire de recherche du pays. gie nucléaire sous toutes ses formes n’est pas régie par un texte réglementaire. Ces réacteurs fournissent aujourd'hui 17 % de l'électricité mondiale, soit une puissance installée de 378 GW. années 80. Un important gisement d'uranium, le gisement d'uranium d'Imouraren au sud d’Arlit, n’est lui toujours pas exploité, pourrait produire près de cinq-mille tonnes d'uranium métal par an pendant trente-cinq ans[5]. Des pays comme la Slovaquie, la Corée du Sud, la France et désormais la Chine se sont pressés à Nairobi pour proposer leur savoir-faire dans l'exploitation du nucléaire[20]. En 2017, la Namibie était le quatrième producteur mondial d’uranium[6]. La mine d'uranium de Rössing, la plus ancienne du pays exploitée depuis 1976, devrait fermer ses portes d'ici 2022[6]. Les mirages du nucléaire ne sont pas nouveaux sur le continent africain, et les aléas de fonctionnement des multiples installations ont été nombreux. Jusqu’ici, sur le continent africain, seule l’Afrique du Sud produisait de l’électricité nucléaire, mais elle vient de renoncer à continuer dans cette voie. Le grand public a oublié son existence. Le premier réacteur nucléaire du Kenya devrait être achevé en 2027, tandis que l'accord intergouvernemental de 2019 entre l'Ouganda et ROSATOM pour aider à … Le Gabon a la particularité d'abriter un réacteur nucléaire naturel, le réacteur d'Oklo qui aurait fonctionné il y a environ deux milliards d'années[1]. Ces universités dispensent des cours d'ingénierie nucléaire en Afrique du Sud : L'Association de l'Industrie Sud-Africaine du Nucléaire (NIASA) est une association ayant pour but d'aider le public à comprendre les technologies nucléaires. Dix Etats africains ont annoncé clairement leurs intentions de se doter de centrales nucléaires. Le programme de recherche et développement nucléaire sud-africain débute en 1959. Le projet est actuellement en cours de démantèlement. Comme vecteur, l'Afrique du Sud a développé une série de missiles dont un lanceur pouvant servir de missile balistique intercontinental, le RSA-3 (en), à partir des années 1970 qui est également abandonné[4]. La disponibilité des ressources nécessaires, comme l’eau ou l’uranium, fait également défaut. Agence internationale de l'énergie atomique, Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, réacteur nucléaire à lit de boulets (Pebble Bed Modular Reactor - PBMR), "Construction of a demonstration Pebble Bed Modular Reactor has been cancelled" et note b en appendix - site web de la WNA version de février 2013, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Programme_nucléaire_de_l%27Afrique_du_Sud&oldid=180884324, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article avec une section vide ou incomplète, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La part du nucléaire varie beaucoup d'un pays à l'autre. ], selon l’Agence internationale de l'énergie atomique, plus du tiers des pays candidats à l’énergie nucléaire sont africains[1]. La Compagnie des mines d'uranium de Franceville, compagnie minière française créée par le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) puis prise en charge par la COGEMA dans les années 1970-1990, puis par Areva, était responsable de l'exploitation de ces ressources[14]. La dernière modification de cette page a été faite le 15 mars 2021 à 03:44. Les six bombes aériennes atomiques d'une puissance de 15 à 20 kt construites entre 1982 et 1989 et une septième en construction sont démantelées avant 1993[2]. Elles devaient être emportées par les avions Blackburn Buccaneer de la Force aérienne sud-africaine[3]. Exploitée par l'Union minière du Haut Katanga, cette mine a fourni l'uranium des bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945, alors que le Congo était une colonie belge[10]. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, le Congo belge … Allez à la découverte de cette dangereuse centrale nucléaire offert par les états-unis et la Belgique En mars 2016, le ministre namibien des finances Calle Schlettwein annonce le triplement de la production d'uranium d’ici à 2017, à 11 000 tonnes, avec la montée en puissance de la mine de Husab[8]. Le Gabon a été un important producteur d'uranium jusqu'en 1999. Ce réacteur est dédié la recherche, l’enseignement et la production d’isotopes à usages médicaux et agricoles[1]. Le premier personnel s'installe en 1963 et le réacteur est mis en marche le 18 mars 1965. En mai 1972, dans une usine d'enrichissement d'uranium en France, des scientifiques examinant le minerai d'une mine au Gabon, en Afrique de l'Ouest, ont découvert qu'un réacteur nucléaire naturel s'était spontanément manifesté dans cette région du passé primordial de la Terre, produisant en continu une énergie d'environ 100 kW depuis quelques centaines de milliers d'années, il y a environ 1,7 milliard … Un accord signé entre la Russie et l’Algérie laisse envisager la construction d’un réacteur nucléaire dans le pays nord-africain d’ici une douzaine d’années. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Ces deux pays disposent chacun chacun d'un nouveau réacteur nucléaire « en cours » de construction : Angra 3 au Brésil (le chantier, arrêté depuis 2015, pourrait reprendre fin 2020) et Carem 25 en Argentine. L'un des principales mines d'uranium actuellement en exploitation est la mine de Husab, exploitée depuis 2014 par la China General Nuclear Power Corporation[7]. Alors que l'on reste encore sous la menace nucléaire au Japon ; coup de projecteur ce matin sur le premier réacteur nucléaire africain. La RD Congo, pionner africain du nucléaire La République démocratique du Congo a été le premier pays africain à se doter d’un réacteur nucléaire en 1959. Ce groupe de lobby est constitué d'entreprises comme Eskom, PBMR, Areva et EDF. La République démocratique du Congo a été le premier pays africain à se doter d’un réacteur nucléaire en 1959. Parlons chiffre : un réacteur nucléaire produit environ 8,76 TWh d’énergie chaque année. Le programme nucléaire de l'Afrique du Sud comprend l'utilisation de l'énergie nucléaire et de la médecine nucléaire. Pour les 60 ans de la mise en service du Premier Réacteur nucléaire africain (c’était le 6 juin 1959 en République Démocratique du Congo), je vous partage l’Histoire du Nucléaire en Afrique. Parallèlement, le pays s’est doté de la centrale nucléaire de Koeberg (dont la construction commence en 1976) équipée de deux réacteurs atomiques, toujours en fonctionnement, pour compléter les besoins en électricité du pays, fournie à 90 % par des centrales à charbon[3]. Celui-ci est laissé à l'abandon depuis la fin des années 1990 en raison des deux guerres civiles congolaises, et connait une mort lente faute d’entretien et de remplacement de ces éléments de combustible défaillants[1]. Avec pour objectif de produire de l’électricité dès 2035. La RD Congo, pionner africain du nucléaire. Le Nigéria ne reçut pas son réacteur de l’Allemagne de l’Ouest et son programme nucléaire fut finalement interrompu à la suite de restrictions budgétaires (Adekanye 1983). L'utilisation de l’énergie nucléaire en Afrique se limite actuellement à l'Afrique du Sud qui est le seul pays du continent à disposer d'une centrale nucléaire en fonctionnement, mais plusieurs contrats signés à la fin des années 2010 par des pays africains permettent d'en prévoir une croissance importante dans les années à venir. La présence d'un réacteur nucléaire sur le sol africain depuis près de 2 milliards d'années ressemble à un mythe qui sonne faux n'est-ce pas ? ... Si à cela s’ajoutent le réacteur algérien à eau lourde Es Salam, l’égyptien ETRR-1/2, le GHARR-1 du Ghana, l’IRT-1 libyen, le MA-R1 marocain et les réacteurs nucléaires NIRR-1 du Nigeria, ainsi qu’une nouvelle centrale nucléaire algérienne qui … Le programme de recherche et développement nucléaire sud-africain débute en 1959. Le projet prévoyait la construction d'une centrale de démonstration près de la centrale de Koeberg et d'une usine de combustible à Pelindaba, à l'ouest de Pretoria. Il projetait de construire six à huit nouveaux réacteurs d’une capacité totale de 9 600 MW pour un budget d'environ 70 milliards d’euros[3]. selon les recommandations des projets correspondants. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Leur implantation au Nord du continent africain est en effet difficile en raison de nombreuses zones sismiques ou à risques, qui compromettent la sûreté nucléaire. A l’horizon 2025, au moins cinq pays africains en … En Égypte, le projet de centrale nucléaire d'El-Dabaa, entériné par la signature d'un accord entre les présidents Vladimir Poutine et Abdel Fatah Al Sissi le 11 décembre 2017, pour un montant de 25 milliards de dollars[15]. Dans un réacteur nucléaire, des noyaux d’uranium remplacent le combustible fossile (charbon, pétrole) utilisé dans les centrales thermiques. La puissance électrique d'un réacteur est de l'ordre de 1 GW. «L'Afrique du Sud veut aussi exporter son savoir-faire dans la région», confiait David Fig, un expert nucléaire sud-africain, à Inter Presse Service le 29 août 2011. Il comprend, en effet, des innovations uniques et brevetées qui le rendent particulièrement compétitif. La République démocratique du Congo a des réserves d’uranium essentiellement concentrées dans la mine de Shinkolobwe, dans la province de Katanga au sud-est du pays. Ce projet a été abandonné en septembre 2010[6]. En 2015, le SAFARI-1 (en) (South African Fundamental Atomic Research Installation 1) est le seul réacteur nucléaire de ce genre dans le pays. Selon différentes études, l'Afrique devrait installer environ 160 gigawatts entre 2018 et 2025 et davantage en 2050 quand sa population passera à deux milliards d’habitants (1,3 milliard actuellement[Quand ?]) Le continent africain dispose d’importantes réserves d’uranium, environ 20% des réserves mondiales, essentiellement concentrées en Afrique du Sud, au Niger, en Namibie, au Malawi, au Gabon et en République démocratique du Congo[1],[4]. Toute l'information sur Nucléaire africaine est disponible sur votre site Afriquinfos.com ; le site de référence sur l'actualité africaine. Mais la nation arc-en-ciel ne sera bientôt plus la seule à développer le nucléaire civil. La dernière modification de cette page a été faite le 19 avril 2021 à 16:08. La construction du réacteur à fusion nucléaire compact SPARC devrait commencer en juin 2021 et s’achever d’ici trois ou quatre ans. Les Etats-Unis possèdent le plus de réacteurs : 99, suivis de la France 58. Les réserves d'uranium sont estimées à environ 6 % des ressources mondiales en Uranium[5]. La centrale nucléaire de Koeberg est l'unique centrale du pays, elle comporte deux réacteurs à eau pressurisée conçus par la société française Framatome. Le Nigéria ambitionne d'augmenter sa capacité énergétique à 4 800 MW (soit une augmentation de 1 200 MW) à l'horizon 2030, grâce à la construction de trois centrales nucléaires supplémentaires[18]. En conséquence de ses efforts, le Ghana acquit un réacteur nucléaire soviétique en 1964, mais l’exploitation en fut stoppée en 1966 (Adeniran 1981). Les ambitions nucléaires du pays sont portées par la Kenya Nuclear Electricity Board (KNEB), qui multiplie les partenariats à l'international avec pour objectif d'atteindre une capacité nucléique installée de 4 000 MW en 2027[20]. Bien qu’il ne s’agisse pas du seul réacteur nucléaire à haute température et refroidi par gaz conçu dans le monde, le projet sud-africain est considéré, au plan international, comme un favori. Mais, elle pourrait être une source d’énergie pour la plupart des pays africains. Ainsi donc la RDC qui est le premier pays africain détenteur d’un Réacteur Atomi-que depuis 1959 ne dispose pas encore, 42 ans après, d’une Législation et d’une Réglementation régissant l’uti-lisation pacifique de l’énergie nucléaire … Lorsqu’un neutron vient heurter un noyau d’uranium, celui-ci se casse en libérant d’autres neutrons et de l’énergie sous forme de chaleur. La centrale devrait être achevée en 2022, et opérationnelle en 2024. L'Afrique du Sud construit six bombes atomiques aériennes de 15 kt et 20 kt avant de stopper son programme militaire avec l’arrivée au pouvoir du Congrès national africain (ANC), qui ratifie le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires[1]. Au début des années 2010, le président Jacob Zuma lance un projet de développement du parc nucléaire sud-africain. L’accord signé avec StarCore Nuclear prévoit l’installation de réseaux pour électrifier les zones raccordées aux futures centrales nucléaires[19]. En 1970, après l'indépendance de la République démocratique du Congo, TRICO I est mis à l'arrêt, puis remplacé à l'initiative du Centre régional d’études nucléaires par un autre réacteur plus puissant TRICO II, d'un mégawatt, opérationnel en 1977[1]. La plus ancienne et principale mine d'uranium du Malawi est la mine de Kayelekera[12]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le réacteur de recherche d’une puissance variant entre 10 et 50 kW avait été construit sur le mont Amba et le centre nucléaire … Construit en 2004 pour la recherche, le réacteur nucléaire de Kinshasa ne présenterait aucun danger, selon les autorités de RDC. Un arsenal nucléaire africain de dissuasion. Les principales missions du NESCA sont d'entreprendre et de promouvoir les recherches et le développement dans le domaine de l'énergie nucléaire et des technologies liées; traiter et stocker le matériel nucléaire; et coordonner les autres organisations de ce domaine. Grâce à ses ressources en uranium, la RDC a contribué d'une manière significative à l'essor de l'utilisation de l'énergie nucléaire dans le monde. À partir de la fin des années 1970, l’Afrique du Sud développe un programme nucléaire militaire secret très avancé en coopération avec Israël[2]. La NESCA remplace la Société de l'Énergie Atomique nationale. L’énergie nucléaire était auparavant une option sophistiquée réservée au monde industrialisé. En mars 2009, le gouvernement congolais signe avec le groupe nucléaire français Areva un accord donnant à cette société le monopole sur l’exploration et l’exploitation de l’uranium sur l'ensemble du territoire de République Démocratique du Congo, dont le gisement de Shinkolobwe[11]. La centrale est située à 30 km du Cap. Dans les années 1950, sur l’initiative du gouvernement belge, un réacteur nucléaire nommé « TRICO I », d’une puissance de 10 à 50 kW, est construit au Congo belge, à l’université de Lovanium à Léopoldville (Kinshasa)[1]. "La RDC a une riche expérience en matière nucléaire parce qu'elle fut le premier pays africain à se doter d'un réacteur nucléaire dès le 6 juin 1959. Le groupe public russe Rosatom devrait construire la centrale, livrer le combustible nucléaire, former les employés, et assurer la maintenance et la réparation des unités de production[16]. En mai 2018, à la demande du gouvernement de la RDC, un atelier organisé par l’Agence internationale de l’énergie atomique est organisé pour évaluer les conditions de redémarrage du réacteur à l’arrêt depuis 2004[1]. Convertis en kWh, qui est l’unité que l’on utilise pour mesurer notre propre consommation électrique, on obtient alors 8 760 000 000 kWh . Dans les années 1950, sur l’initiative du gouvernement belge, un réacteur nucléaire nommé Le projet de mine d'uranium de Trekkopje est gelé par Areva depuis 2012 et n'est jamais entré en production[9]. Actuellement[Quand ?
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