La maire sortante invalidée, Catherine Mégret (MNR), a été sévèrement battue à la mairie de Vitrolles, dans le sud de la France, avec 45,95% des voix, contre 54,05% pour le socialiste Guy Obino, qui remporte donc le second tour des élections municipales partielles de la ville. Maire de Vitrolles. « C'était déjà l'archétype de l'ingénieur des Ponts. Ce dernier meurt dans un accident de voiture et sera remplacé par Carl Lang, puis par Bruno Gollnisch. Chargé de mission au Commissariat général du Plan en 1975 et 1976[note 7], il est affecté à l'aménagement du territoire lors de la préparation du VIe plan[note 8]. C'est lui qui conduit la liste aux élections régionales dans les Bouches-du-Rhône et, en mars 1992, il est élu conseiller régional de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Au premier tour des élections législatives de 2007, Bruno Mégret obtient 2,03 % des voix dans la douzième circonscription des Bouches-du-Rhône. Un an et demi plus tard, mon épouse est élue maire de Vitrolles avec 52, 5 % des voix, après une campagne exceptionnelle et une victoire de haute lutte, obtenue seule contre tous. Le 23 mai 2008, il se met « en réserve » de la vie politique[28], et part travailler en Australie pendant les deux années suivantes, pour le compte du groupe Bouygues. Depuis octobre 1990, il est, de surcroît, le leader du Front national dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ce n'est pas par conformisme de filière étudiante, mais parce que je souhaitais être fonctionnaire par vocation publique. Au petit matin, ils ont fait une arrivée digne de 1793. En 1986, profitant du scrutin à la proportionnelle, Jean-Marie Le Pen, président du Front national, décide de créer le Rassemblement national afin d'ouvrir son parti à d'autres mouvements. Le conflit se cristallise autour de la préparation des élections européennes de 1999. Depuis octobre 1990, il est, de surcroît, le leader du Front national dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Scissionnistes par force ou par raison, ils créent, lors d'un congrès à Marignane, les 23 et 24 janvier 1999, le Front national-Mouvement national et portent Bruno Mégret à sa présidence. Les CAR revendiquent 10 000 adhérents pour un total de 120 comités en France. Il en revient avec un diplôme de Master of Science. Bruno Mégret, président du Mouvement National Républicain , époux de Catherine Mégret, maire sortant MNR de Vitrolles, discute sur le marché de la ville le 01 octobre 2002, lors de la campagne du... Get premium, high resolution news photos at Getty Images Il est pour cela condamné, le 25 novembre 1998, à verser 10 000 F de dommages-intérêts à l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui s'était portée partie civile[13]. En effet, Catherine Mégret avait effectué, en qualité de maire de Vitrolles, « quatre envois de courriers entre novembre 2000 et décembre 2001 » à des collègues maires de France pour parrainer la candidature de son époux à l'élection présidentielle de 2002. Il a dans le même temps été rendu inéligible pour avoir dépassé le plafond autorisé des dépenses de campagne. Le 20 décembre 2006, Mégret annonce qu'il ne se présentera pas à la présidentielle 2007, mais soutiendra Jean-Marie Le Pen, lors d'une conférence de presse commune avec celui-ci[27]. Poussé par Patrick Buisson et Jean-Yves Le Gallou[7],[8], il adhère au Front national en 1987, et Jean-Marie Le Pen le nomme directeur de sa campagne présidentielle pour l'année suivante[note 12]. Le FN y est fort, dès 1984, il dépassait les 20 %. Aux élections européennes qui ont lieu la même année, la liste conduite par Bruno Mégret sous l'étiquette Mouvement national obtient 3,28 % des voix et n'a donc aucun député puisque son score est inférieur à la barre des 5 % exigée pour avoir des élus. Le MNR perd ainsi son dernier fief. Considéré désormais comme un rival embarrassant par la direction du Front national, Bruno Mégret va faire l'objet d'attaques de plus en plus vives. Les années 1990 voient un affrontement interne entre Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret « au sujet des concessions qu'implique l'adoption pleine et entière d'une stratégie d'adaptation au « système » et de conquête du pouvoir », que Pascal Perrineau fait débuter lors du 8e congrès du FN de mars 1990. Quelques conseillers municipaux parviennent à être élus maires, comme Pierre Bernard, Jean-Paul Hugot, Nelly Rodi ou Francisque Collomb. Bayrou et Boutin, c'est l'UDF, c'est la nébuleuse centriste. En 1998, il fait paraître un sixième ouvrage, La Nouvelle Europe. Aux élections européennes qui ont lieu la même année, la liste conduite par Bruno Mégret sous l'étiquette Mouvement national obtient 3,28 % des voix et n'a donc aucun député puisque son score est inférieur à la barre des 5 % exigée pour avoir des élus. Condamné à deux ans d'inégilibilité pour avoir agressé la candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal, Jean-Marie Le Pen confie en juillet 1998 la direction de la liste du parti à sa femme Jany et non à son numéro deux pourtant au zénith de son influence. En 1981, lorsque François Mitterrand est élu, il se présente aux élections législatives au nom du RPR dans les Yvelines contre Michel Rocard qu'il met en ballottage. « Je suis entré dans un corps pour faire de la politique. Il voit ses comptes de campagne invalidés pour avoir utilisé illégalement les services de la mairie de Vitrolles pendant sa campagne[22] et son parti va connaître de graves difficultés. Dès 1975, il adhère au Club de l'horloge, un cercle de réflexion créé par de hauts fonctionnaires qui entendent élaborer une riposte intellectuelle au socialisme. Il a dans le même temps été rendu inéligible pour avoir dépassé le plafond autorisé des dépenses de campagne. En 1981, lorsque François Mitterrand est élu, il se présente aux élections législatives au nom du RPR dans les Yvelines contre Michel Rocard qu'il met en ballottage. Bruno Mégret s'impose comme numéro deux du Front national et forge son image. En 1974, ses études en France terminées, il part, muni d'une bourse, pour les États-Unis où il passe une année à l'université de Californie à Berkeley. A Vitrolles (Bouches-du Rhône), Catherine MEGRET du Front national (FN) a été élue maire de la mairie face au maire socialiste sortant Jean-Jacques ANGLADE.Le commentaire alterne avec des images de la soirée, entre bagarre et chant des partisans, ainsi que des extraits des discours de Catherine, Bruno MEGRET, et Jean-Jacques ANGLADE. La crise atteint son paroxysme le 5 décembre 1998 lors du conseil national qui réunit les 300 responsables les plus importants du parti à la Maison de la Chimie pour préparer la campagne des européennes. L'année suivante, il fait paraître la Troisième voie, un ouvrage dans lequel il définit les principes d'une autre politique économique et sociale combinant les impératifs de la liberté et de la régulation pour redynamiser l'économie tout en maîtrisant la mondialisation dans le cadre d'un patriotisme économique européen. Une importante mobilisation militante et médiatique met un terme aux ambitions de Mégret entre le premier et le second tour. Mégret entame la rédaction de Lettres d'orientation, et plusieurs campagnes sont lancées par les comités, notamment celle « Pour l'école républicaine, non aux manuels scolaires marxistes » en septembre 1982[3]. "La justice se déconsidère" a lancé Bruno Mégret à l'issue de l'audience. En effet, Catherine Mégret avait effectué, en qualité de maire de Vitrolles, « quatre envois de courriers entre novembre 2000 et décembre 2001 [24] » à des collègues maires de France pour parrainer la candidature de son époux à l'élection présidentielle de 2002. La crise atteint son paroxysme le 5 décembre 1998 lors du conseil national qui réunit les 300 responsables les plus importants du parti à la Maison de la Chimie pour préparer la campagne des européennes. Ce dernier meurt dans un accident de voiture et sera remplacé par Carl Lang, puis par Bruno Gollnisch. Ce soutien s'inscrit dans le cadre de l'Union patriotique proposée par le président du Front national. « La bataille de Vitrolles n'a pas été une bataille électorale comme les autres. En 1995, Bruno Mégret, qui ne réussit pas à remporter la mairie de Vitrolles, obtient l'annulation du scrutin qu'il estime entaché de graves irrégularités [4]. Vitrolles de 1997 à 2002. la chambre régionale des comptes critique la gestion de Catherine Mégret. Il possède toutefois encore des conseillers municipaux. En 1988, Bruno Mégret se présente dans la 10e circonscription des Bouches-du-Rhône (Gardanne), où il obtient 26 % des suffrages au premier tour et 44 % au second. « Je suis entré dans un corps pour faire de la politique. Jusqu'en juin 1989, où il est élu député européen, il est chargé de mission au conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD)[réf. ... Pour l'époux de l'ancienne maire de Vitrolles, «les villes conquises» par le FN en 1995 l'ont été «de haute lutte». Elle est élue le 9 février 1997 avec 46,70 % des voix au 1er tour et 52,48 % au second[note 15]. Madelin, c'est l'hyperlibéralisme »[20]. Il est chargé de la formation, de la communication, des études, et des manifestations du Mouvement national. Il s'attaque aussi à la question de l'immigration et propose « Cinquante Mesures pour régler le problème de l'immigration » qui provoqueront beaucoup d'émoi dans les médias et au sein de la classe politique. Bruno Mégret s'impose comme numéro deux du Front national et forge son image. En vue du second tour, il appelle à voter pour Jean-Marie Le Pen. Durant ces deux ans à l'étranger, Bruno Mégret continue de donner son avis sur l'évolution du MNR, tout en laissant la place à une direction collégiale. ». Lors de la campagne présidentielle de 2002, il se présente comme « le seul candidat de droite », déclarant : « Vous voyez Chirac, il ne veut pas se reconnaître de droite. Maire de Vitrolles [modifier | modifier le code] En 1995, Bruno Mégret, qui ne réussit pas à remporter la mairie de Vitrolles, obtient l'annulation du scrutin qu'il estime entaché de graves irrégularités [4]. Il est l'aîné d'une famille de quatre enfants dont il est le seul garçon. Mis en disponibilité, il rejoint son corps d'origine deux ans plus tard, après sa défaite aux élections législatives. De retour à Paris, il est pensionnaire à l'Institut catholique Bossuet[note 3] et inscrit en seconde au lycée Louis-le-Grand avant d'y être admis en classe préparatoire. Son implication dans cette opération provoque la révocation de Mégret de la délégation générale du parti le 9 décembre 1998 puis son exclusion le 23 décembre[17]. En juin 1995, candidat à l'élection municipale de Vitrolles dans les Bouches-du-Rhône, il obtient 43 % des suffrages au premier tour, le score record du Front national dans les villes de plus de 30 000 habitants et échoue de justesse au second tour devant la liste conduite par Jean-Jacques Anglade[note 14]. Son influence ne cesse de grandir au sein du FN où il révèle ses talents d'organisateur et de stratège, devenant ainsi un rival pour Jean-Pierre Stirbois, le secrétaire général. Le MNR n'a plus d'élus nationaux. Après avoir été membre du Rassemblement pour la République (RPR), puis présidé son propre mouvement, les Comités d'action républicaine (CAR), il rejoint dans les années 1980 le Front national (FN), dont il devient l'un des principaux dirigeants. Après l'élection présidentielle de 1981, la droite crée des cercles et associations afin de comprendre son échec ; les Comités d'action républicaine (CAR) sont conçus par Yvan Blot et Pierre-Marie Guastavino[1], et créés officiellement par Bruno Mégret, « Jean Bousignac », Jean-Claude Bardet et Claude Waddington en janvier 1982[2]. Lors des élections municipales de 1983, les comités ont environ 250 élus, parmi lesquels le journaliste Dominique Jamet[4]. Bruno Mégret, devenu le numéro deux du Front national depuis 1988, ne veut plus cantonner son parti à un rôle de contestation mais au contraire le transformer en « parti de gouvernement ». Bayrou et Boutin, c'est l'UDF, c'est la nébuleuse centriste. Jean-Jacques Mourreau lui succède, jusqu'à sa propre démission et la mise en sommeil du mouvement en 1990[6]. Aux côtés de « naboléon », comme Jean-Marie Le Pen a surnommé Bruno Mégret, on retrouvera bien entendu Catherine Mégret, maire de Vitrolles de 1996 à 2002, et cinq autres cadres du MNR… Qu’importe ! VITROLLES Le couple Mégret devra ravaler son arrogance: les voilà tous deux politiquement anéantis après la défaite de Catherine, maire de Vitrolles, lors des élections municipales tenues dimanche dans cette petite ville des Bouches du Rhône à la suite de l'annulation par le Conseil constitutionnel, en juillet dernier, du scrutin de mars 2001. Il se rapproche alors du Front national. Hubert Fayard, actuel secrétaire départemental du MNR, n'a en revanche plus de mandat électif. Pour les élections européennes de juin 1994, il est placé en deuxième position sur la liste conduite par Jean-Marie Le Pen et réélu au Parlement de Strasbourg. Après l'élection présidentielle de 1981, la droite crée des cercles et associations afin de comprendre son échec ; les Comités d'action républicaine (CAR) sont conçus par Yvan Blot et Pierre-Marie Guastavino[1], et créés officiellement par Bruno Mégret, « Jean Bousignac », Jean-Claude Bardet et Claude Waddington en janvier 1982[2]. En 1997, une certaine Catherine Mégret devient maire de Vitrolles. Dont, avec les députés du FN, il demandera la suppression en 1986. En octobre 1988, il est nommé délégué général du Front national par Jean-Marie Le Pen. À cette occasion, Bruno Mégret affiche l'objectif de « conquérir la responsabilité du pouvoir pour assurer la renaissance de la France » et propose, pour y arriver, « une alliance avec le RPR et l'UDF, à la condition que le FN soit en position dominante »[9]. Jean-Jacques Mourreau lui succède, jusqu'à sa propre démission et la mise en sommeil du mouvement en 1990[6]. Hostile à la construction bruxelloise mais favorable à une Europe indépendante et puissante, il plaide pour une Europe des nations qui permettrait aux États qui la composent, et à la France en particulier, de revenir sur la scène de l'histoire. Le symbole choisi est la feuille de chêne. Dès 1975, il adhère au Club de l'horloge, un cercle de réflexion créé par de hauts fonctionnaires qui entendent élaborer une riposte intellectuelle au socialisme. Il est chargé de la formation, de la communication, des études, et des manifestations du Mouvement national. Un nouvel ouvrage de Bruno Mégret est publié à l'automne 2006 sous le titre L'Autre Scénario. C'est lui qui conduit la liste aux élections régionales dans les Bouches-du-Rhône et, en mars 1992, il est élu conseiller régional de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. En juin 1989, il est élu au Parlement européen où il est membre de la Commission politique et de la Commission économie. Nommé à la direction départementale de l'équipement de l'Essonne en 1977[note 9], il est ensuite conseiller technique au cabinet du ministre de la Coopération de 1979 à 1981, puis directeur adjoint des infrastructures et des transports à la préfecture de la région Île-de-France jusqu'en 1986. nécessaire]. Lors de la campagne présidentielle de 2017, le MNR appelle à voter pour François Fillon au premier tour, considérant que Marine Le Pen est déjà « assurée d’être qualifiée pour le second tour » et qu'il convient d'« écarter du second tour » Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon[31]. En juin 1995, candidat à l'élection municipale de Vitrolles dans les Bouches-du-Rhône, il obtient 43 % des suffrages au premier tour, le score record du Front national dans les villes de plus de 30 000 habitants et échoue de justesse au second tour devant la liste conduite par Jean-Jacques Anglade[note 14]. Mais pas hautain, ni arrogant. À cette occasion, Bruno Mégret affiche l'objectif de « conquérir la responsabilité du pouvoir pour assurer la renaissance de la France » et propose, pour y arriver, « une alliance avec le RPR et l'UDF, à la condition que le FN soit en position dominante »[9]. Il épouse Catherine Rascovsky qui le remplace comme candidate à la mairie de Vitrolles car il est frappé d'inéligibilité pour un an pour non-respect des dispositions de financement de la campagne. modifier - modifier le code - modifier Wikidata. Après avoir été membre du Rassemblement pour la République (RPR), puis présidé son propre mouvement, les Comités d'action républicaine (CAR), il rejoint dans les années 1980 le Front national (FN), dont il devient l'un des principaux dirigeants. Diplômé de l'Institut des hautes études de Défense nationale, capitaine de réserve de l'Arme blindée de cavalerie, il a été élève officier de réserve de l'École de cavalerie de Saumur (incluant un stage commando à Quélern, puis deux mois en garnison en Allemagne à Offenbourg). Un an et demi plus tard, son épouse est élue maire de Vitrolles avec 52,5 % des voix à la suite d'une bataille emblématique où elle l'emporte seule contre tous. Le MNR fait un score très faible au niveau national et ne franchit pas le seuil permettant d'accéder au financement public des partis. En juin 1989, il est élu au Parlement européen où il est membre de la Commission politique et de la Commission économie. Suez et Veolia parviennent à un accord de principe en vue de leur rapprochement. Il approche Jean-Maxime Lévêque, Francine Gomez, François Léotard, sans succès[5]. Ainsi, il fonde en 1989 la revue Identité qui va organiser et mettre en forme le corpus idéologique de l'extrême droite française. Une importante mobilisation militante et médiatique met un terme aux ambitions de Mégret entre le premier et le second tour. Élève de l'institution Blanche-de-Castille, elle étudie ensuite l'anglais à l'université Paris-Diderot et la psychologie à l'université Paris-Descartes. Il s'attaque aussi à la question de l'immigration et propose « Cinquante Mesures pour régler le problème de l'immigration » qui provoqueront beaucoup d'émoi dans les médias et au sein de la classe politique. Il adhère ensuite au Rassemblement pour la République (RPR)[note 10] via les réseaux de Charles Pasqua[note 11] et devient presque immédiatement membre du comité central du RPR. Bruno Mégret rejoint ainsi son épouse Catherine Mégret, maire de Vitrolles de 1996 à 2002, Yves Bovéro, son premier adjoint et deux cadres de l'ancienne municipalité … En 1984, Mégret cherche à constituer une liste pour les élections européennes. Le 23 mai 2008, il se met « en réserve » de la vie politique[28], et part travailler en Australie pendant les deux années suivantes, pour le compte du groupe Bouygues. En octobre 1988, il est nommé délégué général du Front national par Jean-Marie Le Pen. À Bruxelles, où son père est en poste aux Communautés européennes, Bruno Mégret est scolarisé à l'école européenne[note 2]. Jugement du tribunal correctionnel de Paris du, Jugement du tribunal correctionnel de Marseille du, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Institut des hautes études de Défense nationale, conseil général de l'environnement et du développement durable, douzième circonscription des Bouches-du-Rhône, dixième circonscription des Bouches-du-Rhône, Conseil général de l'environnement et du développement durable, Les époux Mégret devant la justice pour détournements de fonds, Bruno Mégret annonce son "retrait" de la vie politique, Un an d'inéligibilité confirmé en appel pour Mégret, qui va en cassation, Bruno Mégret se retire de la vie politique, Groupe Front national – Rassemblement national, Affaire des assistants parlementaires au Parlement européen, Élection présidentielle française de 2002, Naissance dans le département de la Seine, Personnalité du Rassemblement pour la République, Député européen membre du Rassemblement national, Personnalité du Mouvement national républicain, Ingénieur du corps des ponts et chaussées, Candidat à une élection présidentielle en France, Député de la VIIIe législature de la Ve République, 2 avril 1986 – 14 mai 1988 : député de l'Isère, 25 juillet 1989 – 19 juillet 1999 : député européen, 22 mars 1992 – 2002 : conseiller régional de, 18 mars 2001 – 16 mars 2008 : conseiller municipal de, Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé «. Bruno Mégret, né le 4 avril 1949 à Paris, est un haut fonctionnaire et homme politique français. Catherine Rascovschi est la fille d'un médecin rhumatologue immigré juif d'origine russe . Il a ensuite passé huit mois à Laon comme sous-lieutenant au 6e régiment de cuirassiers. Bruno Mégret déclare, le 17 février 1997, au cours d'une émission télévisée sur France 2, « qu'il y a des différences entre les races ». Déclaration de M. Bruno Mégret, président du Mouvement national républicain, sur la condamnation en appel de Catherine Mégret pour discrimination et incitation à la discrimination, suite à l'attribution par la mairie de Vitrolles d'une "prime de naissance aux parents européens", à Paris le 30 juin 2001. Durant ces deux ans à l'étranger, Bruno Mégret continue de donner son avis sur l'évolution du MNR, tout en laissant la place à une direction collégiale. En 1984, Mégret cherche à constituer une liste pour les élections européennes. En effet, Catherine Mégret avait effectué, en qualité de maire de Vitrolles, « quatre envois de courriers entre novembre 2000 et décembre 2001[24] » à des collègues maires de France pour parrainer la candidature de son époux à l'élection présidentielle de 2002. Affirmant que la construction européenne actuelle n'apporte rien aux Européens, sinon, d'après lui, un surcroît de réglementations tatillonnes et stériles, il prône une Europe puissante qui placerait les peuples européens au premier rang dans la compétition mondiale et dans laquelle la France pourrait jouer un rôle majeur. Dès 1975, il adhère au Club de l'horloge, un cercle de réflexion créé par de hauts fonctionnaires qui entendent élaborer une riposte intellectuelle au socialisme. Il possède toutefois encore des conseillers municipaux. En vue du second tour, il appelle à voter pour Jean-Marie Le Pen. Bruno Mégret, humilié, dévoile alors ses ambitions et déclare publiquement, à l'occasion de l'université d'été de Toulon le 24 août 1998, que la candidature de Jany Le Pen « n'est pas une bonne idée »[15]. Considéré désormais comme un rival embarrassant par la direction du Front national, Bruno Mégret va faire l'objet d'attaques de plus en plus vives. Avec son mari, Bruno, frappé d’inéligibilité, la frontiste prend les rênes de la ville, jusqu’en 2002. C'est en décembre 1993 qu'il choisit Vitrolles comme point de chute[note 13]. Ces événements font perdre au Front national une majorité de cadres et d'élus (60 % des cadres, soit 140 conseillers régionaux sur 275 et 62 secrétaires départementaux) qui décident de suivre Mégret, que Le Pen surnomme désormais Brutus. Bruno Mégret et les Comités d'action républicaine s'allient à cette occasion au Front national. Catherine Mégret a été réélue maire de Vitrolles lors des dernières municipales. À partir de 2018, il anime le laboratoire d'idées (Think tank) la « Ligne droite »[32]. Le président du MNR, Bruno Mégret, sa femme Catherine, ex-maire de Vitrolles, et cinq cadres du MNR comparaissent à Marseille pour détournements de fonds. On 9 February 1997 Bruno Mégret's wife, Catherine Mégret, was elected mayor of Vitrolles. Catherine Mégret, ancien maire de Vitrolles (Bouches-du-Rhône) et épouse du président du Mouvement national républicain (MNR), Bruno Mégret, a été mise en examen pour « détournement de fonds publics », a-t-on appris mardi de source judiciaire. De son côté, la liste conduite par Jean-Marie Le Pen franchit cette barre avec 5,69 %, obtenant cinq sièges[19]. Situé 6, rue Guynemer, c'est une institution particulièrement sélective qui prend les enfants en charge pour les études du soir et leur propose différentes activités comme le sport, la chorale et les cours de catéchisme, obligatoire jusqu'en seconde. Le FN y est fort, dès 1984, il dépassait les 20 %. Candidat aux élections législatives de mars 1993 dans la douzième circonscription des Bouches-du-Rhône (qui comprend Marignane), il frôle l'élection avec 49,5 % des voix au second tour, soit le même score qu'au premier tour. Les CAR revendiquent 10 000 adhérents pour un total de 120 comités en France. En 1996, il publie L'Alternative nationale, ouvrage dans lequel il tente de démontrer qu'une véritable autre politique est possible en France où, selon lui, le sentiment national ne cesse de gagner du terrain. Bruno Mégret comparaît en septembre 2006 aux côtés de son épouse devant le tribunal correctionnel de Marseille[23]. En novembre 1997, dans le cadre d'un colloque du conseil scientifique du FN consacré à l'information, il est l'un des premiers à utiliser le terme « réinformation », qu'il appelle de ses vœux afin de « gomme[r] les stigmates des années de désinformation subies »[11],[12]. L'année suivante, il fait paraître la Troisième voie, un ouvrage dans lequel il définit les principes d'une autre politique économique et sociale combinant les impératifs de la liberté et de la régulation pour redynamiser l'économie tout en maîtrisant la mondialisation dans le cadre d'un patriotisme économique européen. ». Lors de la campagne présidentielle de 2017, le MNR appelle à voter pour François Fillon au premier tour, considérant que Marine Le Pen est déjà « assurée d’être qualifiée pour le second tour » et qu'il convient d'« écarter du second tour » Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon[31]. Le syndicalisme ne fait pas son entrée chez Amazon aux Etats-Unis. Il approche Jean-Maxime Lévêque, Francine Gomez, François Léotard, sans succès[5]. En 2010, il est de retour en France, en tant que chargé de mission au Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD), et affirme qu'il souhaite à nouveau revenir sur le devant de la scène politique[29],[30]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Beaucoup d'adhérents sont opposés à ce ralliement. Poussé par Patrick Buisson et Jean-Yves Le Gallou[7],[8], il adhère au Front national en 1987, et Jean-Marie Le Pen le nomme directeur de sa campagne présidentielle pour l'année suivante[note 12]. Bruno Mégret reste le président jusqu'en 1988. Dont, avec les députés du FN, il demandera la suppression en 1986. En 1996, il publie L'Alternative nationale, ouvrage dans lequel il tente de démontrer qu'une véritable autre politique est possible en France où, selon lui, le sentiment national ne cesse de gagner du terrain. Le conflit se cristallise autour de la préparation des élections européennes de 1999. Enclin à acquérir une respectabilité en contractant des alliances avec la droite parlementaire, sa stratégie implique une euphémisation du discours frontiste et diverge de plus en plus de celle de Jean-Marie Le Pen, ce dernier choisissant de surenchérir dans l'orthodoxie frontiste et multiplier les déclarations « politiquement incorrectes »[14]. Ce jour-là, les mégrétistes se saisissent de la suspension de deux d'entre eux, Nathalie Debaille et Hubert Fayard (suspension déguisée en licenciement économique) par le président frontiste, pour faire éclater la contestation au grand jour et conspuer Jean-Marie Le Pen[16]. Bruno Mégret reste le président jusqu'en 1988. À Bruxelles, où son père est en poste aux Communautés européennes, Bruno Mégret est scolarisé à l'école européenne[note 2]. Les juges ont considéré que cet envoi était « sans rapport avec les intérêts des contribuables de la commune » et ont donc condamné Bruno Mégret en première instance et en appel[26]. Diplômé de l'Institut des hautes études de Défense nationale, capitaine de réserve de l'Arme blindée de cavalerie, il a été élève officier de réserve de l'École de cavalerie de Saumur (incluant un stage commando à Quélern, puis deux mois en garnison en Allemagne à Offenbourg). Il est alors élu député de l'Isère et deviendra député européen en 1989. Hostile à la construction bruxelloise mais favorable à une Europe indépendante et puissante, il plaide pour une Europe des nations qui permettrait aux États qui la composent, et à la France en particulier, de revenir sur la scène de l'histoire. Situé 6, rue Guynemer, c'est une institution particulièrement sélective qui prend les enfants en charge pour les études du soir et leur propose différentes activités comme le sport, la chorale et les cours de catéchisme, obligatoire jusqu'en seconde. Droit d'auteur : les textes des articles sont disponibles sous, Le contenu de cet article n'est qu'une copie de l', Rassemblement pour la République (1975-1982), Comités d'action républicaine (1982-1988), Mouvement national républicain (1999-2008), « Cinquante Mesures pour régler le problème de l'immigration », « au sujet des concessions qu'implique l'adoption pleine et entière d'une stratégie d'adaptation au, « conquérir la responsabilité du pouvoir pour assurer la renaissance de la France », « une alliance avec le RPR et l'UDF, à la condition que le FN soit en position dominante », « son échec tient, avant tout, à la stratégie de second tour mise en place par Jean-Marie Le Pen », « gomme[r] les stigmates des années de désinformation subies », « qu'il y a des différences entre les races », « quatre envois de courriers entre novembre 2000 et décembre 2001, « sans rapport avec les intérêts des contribuables de la commune », « assurée d’être qualifiée pour le second tour », Il devient chef de la patrouille des sangliers au sein de la troupe des. Bruno Mégret est le fils du haut fonctionnaire Jacques Mégret et de Colette Constantinides[note 1]. Aux législatives de 1997, Bruno Mégret réunit dans la 12e circonscription des Bouches-du-Rhône 35 % des suffrages au premier tour.